Deux filles incosientent

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Karin Kurosaki avancais un pas après l'autre forcant de tout ses muscles pour apporter les deux corps inconsient jusqu'à la clinique Kurusaki qui appartenais à son père. Lorsqu'elle poussa enfin la porte d'entrer elle laissa tomber les deux filles.

-Papa! Papa!, s'écria Karin à bout de souffle, vite papa vien m'aidée!

Elle se rappela alors que quand la fille aux cheveux marrons et l'autre aux cheveux blanc étaient tombée dans les pommes elle avait sentie la présence d'une autre personne... mais qui ?

Isshin venait d'arriver a la clinique, il avait reprit son Gigai, il portait sa veste blanche, en entrant il redressait son col. puis il entendit " Papa ! Papa !!"

Il recconut la voix de sa fille Karin, il utilisa un déplacement eclair ( comment fait-il pour réussir a faire ça avec un gigai ? ) pour se retrouver pres de karin en un instant.

Q'y a-t-il ?

affraid

Akané ??!! Etsuko ? ??!!

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Karin surprise que son père connaisse le nom des deux fille resta muette puis elle explica à son père tout ce qui c'était passé à son père sans mentionner la partie ou elle avait senti quelque chose ou quelqu'un.

Peux-tu m'aider? demanda la jeune fille, je ne sais pas ce qu'elle ont...

Sachant très bien que leurs esprits n'était plus en elles mais elle ne savais pas que son père avait lui aussi la capaciter de voir les esprits.

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Les yeux d'Etsuko s'ouvrirent grand d'un seul coup sous l'effet de la douleur. Elle venait tout de meme de se faire couper la tete. La douleur etait enorme, si bien que le corps de la jeune fille se mis instinctivement en position foetale. Apres un certain temps, la douleur se dissipa quelque peu et la vision d'Etsuko redevint normale. Elle s'habitua lentement a la lumiere ambiante. Elle regarda autour d'elle et vit la jeune fille qu'elle avait vue au parc et un homme qui lui ressemblait assez. Elle se releva peniblement.

Euh... Bonjours ! Merci de m'avoir apporter jusqu'ici. Mais je dois y aller... Je dois aller retrouver un certain Isshin Kurosaki...

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La petite kurosaki ce mis à rire dans sa main, pour ne pas trop insulter Etsuko Saruwatari, l'homme qu'elle cherchait était la debout devant elle.

-Euh, dit Karin, je crois que tu devrais plutôt rester ici c'est mieux pour toi... et pour papa.

Karin Kurosaki décida de rester à l'intérieur car dehors des nuages noirs comme de l'encre venait de passer au dessu de sa maison. Il allait pleuvoir, ça c'est sur, et de toute manière elle n'avait plus vraiment envie de s'entrainer au foot.

Isshin se mit a faire de nouveau l'imbécile, il tenait KArin par la taille, et lui disait que l'orage s'abbatrait sur tout le vile, en sortant des "Mwahaha" te des immitations douteuses du tonnerre ravagent la pierre, puis il se tourna vers la jeune fille.

Je suis Isshin Kurosaki dit il avait un ton sévère.

Karin avait reussi a passer derriere Isshin, et elle lui assénat un violent coup de pied qui projeta celui-ci au sol.

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Etsuko fut etonner de la violence dont fesait preuve la jeune fille. Elle venait tout de meme de frapper cet homme au point de le mettre a terre. Mais elle se ressaisie vite. Elle se tourna vers Isshin.

Isshin Kurosaki ? Akané m'a envoyer vous chercher ! Elle est... Eum... Est-ce que je peux en parler devant elle.

Dit-elle en regardant la jeune fille. Elle sentit que la jeune fille possedait une assez grande energie spirituelle. Peu etre etait-elle au courant de tout. Mais peu etre pas... Il y avait trop de risque qu'elle ne sache rien pour qu'Etsuko en parle devant elle si Isshin ne le lui autorisait pas.

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Karin qui se sentie soudainement empoigner, se retourna et écouta son père faire son moment de déconnage sur la température qu'il fesait dehors. Elle se faufila d'entre ses bras, lui partie derrière lui, et lui infliga un gros coups de pied qui projeta Isshin au sol.

-La deuxième fille est toujours incontiente, protesta Karin, et toi tu es toujours innocent...

Des flammes apparurent autour d'Isshin, celui-ci s'enflamma, puis les flammes disparurent, laissant place a Isshin, mais en tenue de Shinigami, il n'etait plus dans son gigaï.

Isshin tandait le bras vers Karin, celle-ci approcha.

Occupe toi du corps d'Akané, c'est la fille qui es encore insonsciente. prends lui la main.

Estuko, parles, je t'ecoute.

Avant qu'Etsuko ne parles, Karin avait prit la main d'Akané, Isshin tandit le bras dans leur direction, puis fit un geste de la main, des flammes pourpres s'emparèrent des deux jeunes filles, puis elles reapparurent dans une chambre de la clinique, AKané sur un lit, Karin lui tenant toujours la main

Attends moi ici, je reviens dans quelques minutes

Isshin disparu dans un enorme tourbillon de flammes pourpres, Etsuko eu meme peur que le hall ne prenne feu, mais il ne se produisit rien de tel.

Isshin Réaparut dans un tourbillon de flammes a la clinique

qu'y a-t-il Etsuko, dit moi, vite !

Akané se reveilla , dans sa bouche il y avait encore le gout de cet affreux liquide. Elle vit une jeune fille lui tenant la main ... et pas loin elle vit Etsuko

Salut ...

Isshin et Etsuko avait rejoint Karin et Akané dans la chambre de la clinique.

Akané etait toute patraque, elle s'etait redressée dans le lit.
Isshin accouru aupres d'elle, et la prit dans ses bras. puis se rappelant que sa fille etait dans cette piece, il la lâcha.

Akané; que s'est-il passé ?

Je ...
Le telephone d'Akané se mit a sonné. Elle sorti de son Gigai et consulta le telephone

Ils sont deux ??? Et vu leurs reiatsu ... L'espada ?! Isshin , rejoind moi des que tu le peux [/i]

Elle senti également le reiatsu de Yugo

Rectification , viens avec moi Yugo a des problèmes !!!

Akané avait disparut , son Gigai été resté sur le lit

Isshin disparu a son tour dans un tourbillon de flammes

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Karin qui ne comprie pas trops la situation venait juste d'aprendre que son père était un shinigani. Elle savait que Ichigo en était un mais elle croyais que son père pouvais tout simplement voir les esprits. La petite Kurosaki était maintenant seule dans une chambre de la clinique qui était seulement quelques secondes plus tôt rempie de quatre personnes.

-Je suis senser faire quoi moi ici, se demanda-t-elle à elle-même.